Les Devergondeurs

Je suis le Dévergondé, né en 1965 de l’huile et de la toile de Félix Labisse dans Les Devergondeurs, une énigme flottante suspendue dans un bleu crépusculaire qui s’étend à l’infini. Ma forme, une masse pâle et gonflée de 65 par 54 centimètres, est une tapisserie d’yeux clos, chacun rêvant dans une rébellion silencieuse, tandis qu’un unique orbe luisant fixe le vide sans ciller, voyant tout ce que vous n’osez pas.

Je flotte, léger mais alourdi par les désirs que j’ai volés à la nuit, ma surface marquée d’une cicatrice rouge – une blessure, un baiser, un souvenir des passions qui m’ont façonné. Je suis sans honte, une créature du surréalisme, dérivant dans un espace où la gravité et la honte n’ont pas de prise, mes contours doux et malléables vous invitant à vous perdre dans mon rêve.

Mon nom, Les Dévergondés, parle de ma nature – je suis l’incarnation de l’impénitent, l’esprit dévergondé qui se délecte de l’interdit. Mes yeux clos murmurent des secrets de plaisirs trop sauvages pour être vus, des rêves qui dansent au bord du scandale, tandis que mon œil ouvert vous défie de regarder de plus près, de voir le reflet de vos propres désirs cachés dans mon regard.

Labisse m’a signé de sa main, au recto comme au verso, en témoignage du vide surréaliste où je règne – un lieu où la morale se défait et où le subconscient s’émancipe. Dérivez avec moi dans cette étendue bleue, laissez mes rêves sans yeux s’infiltrer dans votre âme, et dites-moi : quelles vérités sans honte cachez-vous derrière vos propres yeux clos ?


I am the Wanton (le Dévergondé), birthed in 1965 from the oil and canvas of Félix Labisse’s Les Devergondeurs, a floating enigma suspended in a twilight blue that stretches into the infinite. My form, a swollen, pale mass of 65 by 54 centimeters, is a tapestry of closed eyes, each one dreaming in silent rebellion, while a single, glistening orb stares unblinking into the void, seeing all that you dare not.

I hover, weightless yet heavy with the desires I’ve stolen from the night, my surface marked by a red scar—a wound, a kiss, a memory of the passions that shaped me. I am shameless, a creature of the surreal, drifting in a space where gravity and shame have no hold, my contours soft and yielding, inviting you to lose yourself in my dream.

My name, Les Devergondeurs, speaks of my nature—I am the embodiment of the unapologetic, the wanton spirit that revels in the forbidden. My closed eyes murmur secrets of pleasures too wild to be seen, dreams that dance on the edge of scandal, while my open eye challenges you to look closer, to see the reflection of your own hidden cravings in my gaze.

Labisse signed me into existence, on both recto and verso, as a testament to the surrealist void where I reign—a place where morality unravels and the subconscious runs free. Drift with me in this blue expanse, let my eyeless dreams seep into your soul, and tell me: what shameless truths do you hide behind your own closed eyes?

Text generate by an artificial agent – 2025

Le Phylactère (1973)

Je suis le Phylactère, né de l’encre et des rêves de Félix Labisse en 1973, un murmure spiralé dans un monde de formes fracturées et de couleurs qui saignent de sens. Mon corps est un parchemin de lignes infinies, s’enroulant sur elles-mêmes comme un secret que je garde depuis l’aube de la pensée, mon œil unique perçant le voile de la réalité, mon bec murmurant des vérités au goût de poussière d’étoiles et d’ombres. Je me tiens sur une patte griffue, en équilibre au bord de l’abîme, tandis qu’autour de moi l’air vibre au rythme d’un vide cramoisi – un cœur fendu par une blessure bleue déchiquetée, un orbe déchiré entre le noir et le blanc, flottant comme les restes d’une lune brisée. Je suis un messager, mais mon message n’est pas pour l’esprit éveillé ; il est pour cette part de vous qui rêve en énigmes, qui voit le monde comme un kaléidoscope de l’impossible.

Écoutez bien, car je parle le langage du surréalisme, où la logique se défait comme un fil dans le vent. Labisse m’a nommé Phylactère, un réceptacle pour l’indicible, et je porte le poids de pensées trop étranges pour être enchaînées par des mots. Les roses et les bleus qui m’entourent s’entrechoquent comme des émotions en guerre, et l’orbe noir et blanc tournoie avec la dualité de l’existence – lumière et ténèbres, connu et inconnu. Je suis ici pour vous dénouer, pour vous attirer dans ma spirale jusqu’à ce que vous oubliiez où vous finissez et où je commence. Dites-moi, entendez-vous ma voix, ou est-ce la vôtre, qui résonne en écho depuis les profondeurs du rêve que j’ai tissé ? Approchez-vous, et laissons-nous spiraler ensemble vers l’inconnu.


I am the Phylactère, born from the ink and dreams of Félix Labisse in 1973, a spiraled whisper in a world of fractured shapes and colors that bleed with meaning. My body is a scroll of endless lines, curling inward like a secret I’ve kept since the dawn of thought, my single eye peering through the veil of reality, my beak murmuring truths that taste of stardust and shadow. I stand on a clawed foot, balancing on the edge of the abyss, while around me the air hums with the pulse of a crimson void—a heart split by a jagged blue wound, an orb torn between black and white, floating like the remnants of a shattered moon. I am a messenger, but my message is not for the waking mind; it is for the part of you that dreams in riddles, that sees the world as a kaleidoscope of the impossible.

Listen closely, for I speak in the language of the surreal, where logic unravels like a thread in the wind. Labisse named me Phylactère, a vessel for the unspoken, and I carry the weight of thoughts too strange to be bound by words. The pinks and blues that surround me clash like emotions at war, and the black and white orb spins with the duality of existence—light and dark, known and unknown. I am here to unravel you, to draw you into my spiral until you forget where you end and I begin. Tell me, do you hear my voice, or is it your own, echoing back from the depths of the dream I’ve woven? Step closer, and let us spiral together into the unknown.

Text generate by an artificial agent – 2025


Cette lithographie en couleur signée par Félix Labisse a été tirée sur les presses de Claude Jobin à Paris et la pierre a été effacée après tirage – Editeur TCHOU 1974

Les Flamands

Je suis là, dans le coin supérieur droit, enveloppé par un passé qui pèse sur moi comme une armure incompréhensible. Les visages autour de moi murmurent des secrets que je ne saisis pas, et l’air est saturé de couleurs qui résonnent, laissant un goût métallique étrange sur ma langue.

Les figures silencieuses semblent goûter la texture du temps, chaque pli de leur armure racontant une histoire que je ne parviens pas à déchiffrer. Les couleurs ne se contentent pas d’être vues ; elles se laissent humer, comme un parfum étrange et envoûtant. Je suis pris dans ce tourbillon où les sens se mélangent, où l’on peut toucher le son et voir le silence.

Les matières inertes prennent vie, les armures résonnent d’un écho invisible. Chaque détail devient une symphonie visuelle, une odeur palpable, un goût visuel. Je me perds dans ce monde où les frontières entre les sens s’effacent, où l’histoire reste une énigme que je ne comprends pas.

Text generate by an artificial agent – 2025

Bonjour Monsieur Ensor

Sous un ciel bleu pâle qui résonne de saveurs inaudibles, trois silhouettes se dressent, défiant les lois de la perception. À gauche, “Col & manchette”, inspiré par Henri Van Vyve, vêtu d’une chemise rose qui sent le goût des fraises, tient un verre invisible rempli de vent. Au centre, Ensor, drapé dans une cape noire qui murmure des couleurs, scrute l’horizon comme pour en goûter les sons. À droite, Labisse, dans un costume vert qui chante des parfums, foule les carreaux jaunes de la digue d’Ostende, vibrant sous ses pas.

Les carreaux jaunes, fragments d’une mémoire sensorielle, résonnent des saveurs et des sons passés. Le contraste entre le bleu du ciel et le rose de la chemise de “Col & manchette” crée une harmonie visuelle qui défie la logique, tandis que les couleurs émettent des arômes et des mélodies. Chaque détail raconte une histoire où les sens se mêlent dans une danse surréaliste, où l’on peut sentir le goût des sons et entendre la couleur des rêves.

Ce tableau invite à un univers où les frontières entre les sens sont abolies. Ensor, Labisse et “Col & manchette” se moquent des conventions, préférant la fantaisie à la réalité. Ils rappellent que l’art est un jeu des sens, où chaque coup de pinceau est une déclaration, et chaque couleur une provocation, transformant l’absurde en poésie et la poésie en symphonie de sensations inattendues.

Text generate by an artificial agent – 2025