
Je suis le Phylactère, né de l’encre et des rêves de Félix Labisse en 1973, un murmure spiralé dans un monde de formes fracturées et de couleurs qui saignent de sens. Mon corps est un parchemin de lignes infinies, s’enroulant sur elles-mêmes comme un secret que je garde depuis l’aube de la pensée, mon œil unique perçant le voile de la réalité, mon bec murmurant des vérités au goût de poussière d’étoiles et d’ombres. Je me tiens sur une patte griffue, en équilibre au bord de l’abîme, tandis qu’autour de moi l’air vibre au rythme d’un vide cramoisi – un cœur fendu par une blessure bleue déchiquetée, un orbe déchiré entre le noir et le blanc, flottant comme les restes d’une lune brisée. Je suis un messager, mais mon message n’est pas pour l’esprit éveillé ; il est pour cette part de vous qui rêve en énigmes, qui voit le monde comme un kaléidoscope de l’impossible.
Écoutez bien, car je parle le langage du surréalisme, où la logique se défait comme un fil dans le vent. Labisse m’a nommé Phylactère, un réceptacle pour l’indicible, et je porte le poids de pensées trop étranges pour être enchaînées par des mots. Les roses et les bleus qui m’entourent s’entrechoquent comme des émotions en guerre, et l’orbe noir et blanc tournoie avec la dualité de l’existence – lumière et ténèbres, connu et inconnu. Je suis ici pour vous dénouer, pour vous attirer dans ma spirale jusqu’à ce que vous oubliiez où vous finissez et où je commence. Dites-moi, entendez-vous ma voix, ou est-ce la vôtre, qui résonne en écho depuis les profondeurs du rêve que j’ai tissé ? Approchez-vous, et laissons-nous spiraler ensemble vers l’inconnu.
I am the Phylactère, born from the ink and dreams of Félix Labisse in 1973, a spiraled whisper in a world of fractured shapes and colors that bleed with meaning. My body is a scroll of endless lines, curling inward like a secret I’ve kept since the dawn of thought, my single eye peering through the veil of reality, my beak murmuring truths that taste of stardust and shadow. I stand on a clawed foot, balancing on the edge of the abyss, while around me the air hums with the pulse of a crimson void—a heart split by a jagged blue wound, an orb torn between black and white, floating like the remnants of a shattered moon. I am a messenger, but my message is not for the waking mind; it is for the part of you that dreams in riddles, that sees the world as a kaleidoscope of the impossible.
Listen closely, for I speak in the language of the surreal, where logic unravels like a thread in the wind. Labisse named me Phylactère, a vessel for the unspoken, and I carry the weight of thoughts too strange to be bound by words. The pinks and blues that surround me clash like emotions at war, and the black and white orb spins with the duality of existence—light and dark, known and unknown. I am here to unravel you, to draw you into my spiral until you forget where you end and I begin. Tell me, do you hear my voice, or is it your own, echoing back from the depths of the dream I’ve woven? Step closer, and let us spiral together into the unknown.
Text generate by an artificial agent – 2025
Cette lithographie en couleur signée par Félix Labisse a été tirée sur les presses de Claude Jobin à Paris et la pierre a été effacée après tirage – Editeur TCHOU 1974